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Le Confessionnal Virtuel...
Il est de plus en plus rare de nos jours de pouvoir assister à la mise en croix de bourgeoises plantureuses et perverses, exposées nues sur la place publique ou sur une colline des environs. La crucifixion, comme châtiment exemplaire est en voix de disparition partout dans le monde, signe de laxisme de la part des autorités judiciaires et de décadence des moeurs.
Les amateurs de crucifixion féminine, faute de mieux, peuvent toutefois assouvir leur passion en utilisant leur compagne consentante ou non ainsi qu'un matériel peu coûteux facile à fabriquer soi-même.
L'idéal est de posséder une maison avec une grande cave ou un grenier spacieux qui servira de salle de torture ou mieux encore un vaste terrain accidenté, clôturé d'arbres pour se protéger des regards indiscrets. Mais on peut également se contenter de moins d'espace avec une chambre ou une petite pièce si la maison est plus modeste.
Le matériel utilisé consiste en une solide caisse en guise d'échafaud qui sera utilisée comme support de la croix et la maintiendra debout. Les dimensions de la caisse font 30x60x25cm. La croix peut être légère et peu encombrante pour plus de commodité. Elle est faite de deux poutres, le stipes pour la partie verticale et le patibulum pour la partie horizontale, fixées entre elles par un boulon. Une cale de bois clouée sous le patibulum l'empêche de basculer de part et d'autre.
Pour que la croix tienne debout sur son support, l'astuce est de faire une découpe de la largeur et de l'épaisseur du stipes au bord de la caisse, au milieu du côté le plus long mais surtout ne pas la faire au centre de la caisse. Trois planchettes clouées en U dans la caisse sous la découpe serviront de guide au pied de la croix et lui donnera plus de stabilité. Ainsi dressée la croix ne basculera pas avec son support quel que soit le poids de la suppliciée car le centre de gravité reste à l'intérieur de la caisse.
A 32cm de hauteur par rapport à la partie inférieure du stipes soit à 7 cm de hauteur par rapport au dessus de la caisse une fois la croix dressée, on perforera un trou à la chignole. Ce trou servira à enfoncer un long boulon maintenu par un écrou qui permettra de fixer les pieds. On perforera un autre trou à 85 cm environ de hauteur, en mesurant toujours par rapport à la partie inférieure du stipes, un autre trou qui permettra de fixer avec un boulon ( donc démontable ) le sédile qui n'est toutefois pas indispensable.
Le sédile est une petite console de bois, un siège destiné à soutenir le corps des suppliciées les plus douillettes.On
peut lui donner la même forme oblique que le suppedaneum, cette console imaginaire ( car dans la pratique elle n'a jamais existé ) sur laquelle sont cloués l'un sur l'autre les pieds des condamnées.
Pour terminer la préparation de la croix on fera sur le patibulum en plus du trou central servant à l'assemblage des deux poutres, deux trous supplémentaires à 15cm environ des bouts pour attacher les poignets de la suppliciée.
Le scénario de la crucifixion se fera selon les modalitéas suivantes:
La condamnée dépouillée de ses vêtements est attachée à l'aide d'une corde au stipes dressé sur l'échafaud sans son patibulum pour y être flagellée.
Il est facile de se procurer de bons fouets dans les sex-chops mais on peut aussi facilement en fabriquer soi-même avec un bout de manche à balai et deux lanières de cuir sur lesquelles on enfilera pour imiter le flagrum romain trois ou quatre petits boulons maintenus avec du fil de fer enroulé sur les lanières et dont on laissera dressé les bouts acérés.
Après la flagellation on fait jouer à la condamnée la scène du sacre avec une couronne d'épines tressée à l'aide de branches épineuses de rosier ou de ronce par exemple.
Pour la crucifixion on étend de force la condamnée à terre, ses bras sont écartés sur le patibulum. Pour attacher les poignets, l'idéal est d'utiliser deux solides colliers de chien en cuir, coupés sur mesure et mis aux poignets comme des bracelets. Des boulons adaptés passés dans la boucle de métal des colliers ainsi que dans les trous forés dans le patibulum permettent de les fixer.
Pour attacher les pieds on procède de la manière suivante: on ligote le gros orteil et l'index de chacun d'entre eux avec de la ficelle de cuisine. Dans l'espace fermé ainsi créé entre les deux orteils il suffira d'y introduire un long et solide boulon en guise de "clou"; Pour terminer et pour rendre la douleur plus vive on peut poser sur les poignets et sur les pieds des pinces de serrage en plastique couramment vendues dans les supermarchés.
Maintenant la condamnée doit être élevée sur la croix. L'idéal est d'être deux pour soulever le patibulum et l'accrocher au stipes. Mais une seule personne peut y arriver car le plus souvent la condamnée apporte généreusement son aide au bourreau pour limiter les tiraillements douloureux dans les bras. On fixe les deux poutres avec un boulon et son écrou et voilà la croix montée!
Avant de "clouer" les pieds il est préférable d'asseoir la condamnée sur le sédile installé avant la mise en croix car cette fois, rares sont les condamnées qui acceptent de se laisser suspendre docilement par les bras. Le corps ainsi installé sur son trône royal, il est plus facile de soulever les jambes et de fixer les pieds l'un sur l'autre avec le boulon passé entre les orteils ficelés.
Comme il a été dit plus haut, on peut laisser le sédile en place pour les suppliciées les plus douillettes. Il est positionné suffisamment bas pour que le corps tire au maximum sur les bras en provoquant une gêne respiratoire. Toutefois en procédant ainsi le corps demeure très statique, il bouge très peu car les mouvements sont rendus difficiles à cause de la douleur qu'ils occasionnent et le spectateur injustement frustré reste sur sa faim.
La règle est donc de démonter le sédile quand la crucifixion est terminée. On profite avec malice d'un bref soulèvement de croupe à la torture en quête d'une position moins douloureuse pour tirer le "trône royal" d'un mouvement rapide et le tour est joué!
A ce moment la suppliciée s'effondre, suspendue par les bras. Mais la douleur dans les poignets et l'asphyxie intolérable font rapidement leur effet. C'est alors que commence le spectacle le plus libidineux qu'on puisse imaginer, un spectacle à faire bander un eunuque, assis en maillot de bain sur une banquise! La suppliciée tente de se dresser sur les pieds "cloués" pour soulager ses bras distendus et aspirer avidement l'air à grosses goulées. L'effort est intense car le corps qui pèse de tout son poids décuple la douleur dans les pieds. La chair obscène lacérée par la flagellation et mise à l'étal se crispe, se tord comme un vers, se contorsionne, le corps qui se dresse lentement sur les cuisses tendues et les pieds en "danseuse", vibre sur ses clous. La suppliciée pousse des feulements de chatte en chaleur, des râles de "jouissance". Mais les jambes se fatiguent vite. A la douleur des pieds s'ajoutent des crampes qui tenaillent les mollets et les cuisses. Les jambes se mettent à trembler convulsivement en secouant le corps ce qui déclenche un désopilant ballet de mamelles ballotées en tous sens. Les yeux de la condamnée remplis de terreur s'arrondissent comme des billes tandis que la bouche crispée n'arrive pas à contenir des grognements sourds de douleur, de rage et de honte.
Puis le buste bascule en avant tandis que la croupe se dresse contre la potence à la recherche d'un point d'appui illusoire. Mais le corps glisse inexorablement, tire de tout son poids sur les bras distendus et les poignets "cloués". Les cuisses s'ouvrent et s'offrent aux regards aguichés. La suppliciée se sent comme écartelée. L'asphyxie devient intolérable. Il faut remonter coûte que coûte! Et le fabuleux spectacle recommence ainsi indéfiniment sans que l'on s'en lasse. Vous avez tout le loisir de le faire durer selon votre bon plaisir jusqu'à ce que l'orgasme vous fasse monter au septième ciel ou jusqu'à l'épuisement complet de la condamnée.
Ainsi à peu de frais et avec des instruments de supplice faciles à fabriquer vous allez pouvoir messieurs vous distraire, vous amuser, occuper sainement, agréablement et d'une manière peu banale vos soirées, vos week-ends ou vos vacances. Selon vos motivations et votre imagination vous pourrez le faire en couple avec votre épouse, votre maîtresse, votre petite amie ou votre voisine. Et ce qui serait mieux encore, pourquoi ne pas associer à vos jeux érotiques une tierce personne mâle de préférence! Si vous disposez d'un espace suffisant et si vous avez un peu d'ambition il vous est même possible avec la complicité d'un plus grand nombre de personnes de mettre en scène une reconstitution historique de la passion de Jésus Christ, de jouer à Ponce Pilate, de monter ce scénario célèbre, étonnant florilège de tous les plaisirs et fantasmes sado-masochistes: ligotage, coups et violences, outrages, viols en série commis par la soldatesque, prisonnière soumise à la torture pour lui arracher des aveux, condamnée dépouillée de ses vêtements et mise nue entièrement devant la populace en délire avant d'être attachée à une potence et flagellée, couronnement d'épines, portement de croix par la condamnée nue, à travers les dédales et les ruelles populeuses de la ville, condamnée étendue et "clouée" vive sur la croix toujours complètement "à poil" par les sbires de la garde devant la foule émoustillée ou en extase, érection de la croix etc.
Les plus malins joindront l'utile à l'agréable par l'usage d'une caméra vidéo, de quoi faire ensuite un commerce juteux de cassettes auprès de consommateurs avides de sensations fortes et de spectacles de qualité mais demeurés trop longtemps frustrés par la totale platitude des films érotiques diffusés le soir à la télévision.
Ecrit par , le Mardi 1 Avril 2003, 20:36 dans la rubrique "Ces Tortures...".


Commentaires :

  Margotte
Margotte
01-04-03
à 20:41

...

  misschococat
misschococat
01-04-03
à 21:03

moui quoi que la crucifixion de poissons rouges slovènes nains a aussi ses attraits.

  Torcida
Torcida
01-04-03
à 21:46

Re:

looooooool

  Kolia
Kolia
01-04-03
à 22:02

Bof, vieux fantasme judéo-chrétien à tendance cheap...

  sarah-k
sarah-k
01-04-03
à 22:49

encore des efforts!

Allez! il faut s'entrainer encore pour égaler le marquis de Sade!

  chevalier courtois
30-04-04
à 13:51

Re: encore des efforts!


ta réponse est audacieuse.

Et toi ? Si tu en voulais a un mec ou si tu devais lui donner une lecon tu ferais quoi ?

Qu'en penses-tu ?

Qu'en pensz-vous les filles ?

Signé Chevalier Courtois

  Innocent
03-04-03
à 13:34

Super...

J'avais justement oublié les dimensions requises pr le "patibulum" et le vendeur de Castorama était dans l'incapacité de me les donner...

  Innocent
06-05-09
à 14:50

Re: Super...

 

  Innocent
04-04-05
à 18:12

Tres interessant et complet.Merci pour les conseils pratiques.Prix des matériaux?

Ou se procurer la victime?

Voir possiblité crucifiction a l'envers pour satanisme.


  Innocent
28-06-05
à 14:08

Re:

bjr a toutes et a toutes  sulime recit extremement bien detaillé je partage ce fantasme et aimerait tellement le realiser

  Innocent
28-06-05
à 14:11

Re:

bjr a tous et a toutes  sublime recit extremement bien detaillé je partage ce fantasme et aimerait tellement le realiser j adorerais voir ca ne serait ce qu en bandes  dessinees s il n est point possible autrement

  ljerome
ljerome
08-07-06
à 13:37

Pas mal

Cet article est très interessant. Mais la façon d'attacher les pieds risque de créer des lésions ou les fractures. Le poids du corps reposant sur un petit bout d'acier. Evidemment la douleur n'en serait que plus vive. Il est possible de mettre aussi des colliers de chien comme aux poignets. Ce sera également plus facile d'écarter les cuisses pour la suppliciée, sinon les pieds l'un au dessus de l'autres rendraient cela plus difficile.

Qu'en pensez-vous ?

La flagellation n'est pas décrite le flagrum latin était pourtant un fouet terrible qui déchirait le condamné (la suppliciée ici).


  capuche
capuche
02-02-10
à 16:06

Etre crucifié

Retraité, ayant une longue habitude de rester des heures attaché les bras en croix, je souhaite ardamment trouver une femme acceptant de me "crucifier" comme décrit dans l'article; faute de quoi il me faudra aller en Asie pour subir une réelle cruciction, cependant j'ai un peu peur des suites des traces laissées par les clous Merci de me répondre Capuche

  Innocent
01-05-10
à 14:18

Re: Etre crucifié

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