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Le Confessionnal Virtuel...
Jeudi (31/03/05)
Il n'y a pas de pire torture que l'atroce banalité du quotidien...
Ecrit par , à 17:56 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Mercredi (02/06/04)
Almost over...
Ecrit par , à 21:50 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Jeudi (22/04/04)
plus la force de rien

Cette impression que l'on s'acharne à faire de ma vie la pitoyable existence qu'elle est devenu, comme ci tout ça n'étais pas de mon ressort, ma vie ne m'appartient plus.

Ecrit par lyndelle, à 19:03 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Jeudi (10/04/03)
Ce soir là
Ca a commencé dans l'après midi, on s'est retrouvé sur les quais, on a marché on s'est parlé un peu. On est dans un creux en ce moment, comme il y en a de temps dans les couples.
J'ai besoin de faire le point. Je suis un peu distant, elle le sent bien, elle a moyennement le moral je la réconforte un peu mais j'ai surtout envie de rester seul avec mes pensées du moment. Besoin de me retrouver un peu avec moi même, de savoir. Nous ça fait déjà 18 mois que ça dure, avec ses hauts, ses bas, ces engueulades de temps en temps. Mais je l'Aime. Seulement là j'ai un boulot de fou, depuis deux mois je ne dors que la moitié du temps qu'il faudrait je n'ai jamais le temps de récupérer, trop de stress, envie de vomir presque toute la journée. Pourtant je sens qu'elle va mal, qu'elle a besoin de reconfort. Qu'elle me demande et on passe la soirée ensemble, elle vient chez moi, d'ailleurs je lui propose!
Mais non trop tard, elle me dit "Je vais y aller" l'air un peu triste. Je rentre chez moi. J'ai quelques remords mais ça fait du bien d'être un peu seul. J'ai besoin de souffler. Je me couche super tôt mais je n'arrive pas à dormir, je pense à elle. Je me dis que j'assure pas.
Déjà dimanche, bien dormi au fianl une vraie nuit, je suis physiquement en forme. Je me dis que j'ai vraiment pas été cool hier soir.
J'attend un peu, ça y est 10h30 c'est la limite de courtoisie pour appeler un dimanche matin. Ca sonne repondeur. Pareil sur le portable. J'ai un mauvais pressentiment je m'en veux de ne pas avoir été capable d'être là pour elle hier. 14h je rappelle. La mére de sa coloc au telephone (qu'est ce qu'elle fout là elle?). Non je ne sais pas où elle est. Bon portable : messagerie. 15h pareil, je stresse, j'ai comme un mauvais pressentiment, ma culpabilité sûrement. 16h, 17h, 18h, 19h, 20h pareil, je suis sûr les dents personne ne sait où elle est.
C'est pas possible il lui est arrivé quelque chose. 21h 22h itou, je tourne en rond, mes ongles ne sont plus qu'un loitain souvenir...
22h30 mon portable sonne. C'est elle OUF elle est en vie, je suis con à stresser comme ça, elle avait juste besoin d'être seule elle aussi.
Ses premiers mots : "Ne t'inquiéte pas je vais bien". NOOOONNN le cauchemar commence, je ne les aime pas ces mots, ça veux dire qu'il est arrivé quelle que chose , je suis à mon état de stress maximum, j'insite tu es où, elle ne veux pas me le dire. J'insiste encore, A l'hôpital mais rassure toi je vais bien .

Je suis rassuré bien évidemment.

Pourquoi? tu vas bien tu n'es pas blessée.
Non Je vais bien. Elle essaye de persuader qui là? Pourquoi tu es là bas ?.
Je prefere ne pas te le dire par telephone.
J'arrive.
Non je vais bientôt partir le temps que tu arrives je ne serais sûrement plus là.
Alors dis le moi je vais crever d'angoisse toute la nuit.
Je vais bien il ne m'a pas frappé.
(J'ai peur de comprendre) Qui?
Je me suis faite violée...
Mon coeur pars à 100 à l'heure, je m'écrase, je me recroville sur moi même.
NNNOOOONNNN pourquoi elle ce n'est pas possible!!!
Je vais me réveiller c'est un CAUCHEMAR.
Là c'est moi qui recommence tu vas bien ? Tu es sûr que ça va.
Oui ça peut aller.
J'arrive.
Non je preferre rester seule ce soir.Je dois y aller j'ai des examens encore à faire.

Du coup je n'ai pas dormi cette nuit là. Je m'en veux recrovillé en postion fétale sous ma couette je ne dors pas. Je suis gelé, je tremble je grelotte. Je m'en veux.

P#### de B### de M### pourquoi je ne lui ai pas dit de venir à la maison hier soir. Pourquoi elle eu besoin de trainer dans les rues de Lyon hier soir. Pourquoi?
Toutes ces questions volent et siffle dans mon crâne. Mon cerveau demande grace.
3 aspirines.
Lundi on se voit elle arrive en retard, l'air de rien Comment elle fait?. Tout le monde m'a vue et m'a dit que j'avais une tête de deterré. Elle m'impressione, sa force interieure, c'est pour ça que je l'Aime aussi.
Au bout d'une heure, on se trouve un moment et un coin tranquile. Elle me raconte comment. C'est dur. Je crois que ça me soulage un peu, de savoir peut être pour exorciser. Je crois qu'elle aussi elle en a besoin.
On décide de faire une pause dans notre couple, c'est pas le top moment mais bon ça fait 15 jours que ça dure, personne n'était dupe. Officiellement on n'est plus ensemble.


C'était il y a 3 semaines. Depuis je ne peux pas m'empêcher d'être encore plus tendre que je ne l'ai jamais été avec personne. Je fais ce que je peux pour qu'elle aille mieux. Je crois que ça marche en parti, elle a besoin de se sentir entourée, peu de gens sont au courant. Je l'Aime je ne peux pas la planter. Elle me dit que ça ne durera pas, qu'il ne faut pas que je me fasse des idées qu'il ne faut pas que je m'attache
Elle croit c'est déjà fait depuis longtemps! Personne ne nous suis en ce moment même pas moi. Ils nous trouvent étrange mais ne savent pas. La chose qu'il voit c'est les je t'aime moi non plus. Un coup elle est dans mes bras, un coup elle m'évite. Ils ne peuvent pas comprendre, elle ne leur dira pas, je ne peux pas leur dire, ça fait partie de sa vie. Mon je suis ne touché que par ricochet (mais put### quelle baffe).
Moi je suis mal, j'ai besoin d'en parler tout mes amis la connaisse. Je ne peux donc pas leur en parler, j'esquive les questions, le boulot la fatigue que je dis... s'ils savaient.

La vérité c'est que je m'en veux toujours, pourquoi je ne lui ai pas dis de venir, tout les soirs cette pensée revient en boucle pourquoi pourquoi POURQUOI. Ce n'est pas constructif mais quand l'irreversible tiens à non dis put### on se dis que si...

Elle m'a dit que ce n'était pas de ma faute, la seule personne à qui j'en ai parler aussi ce flics à moitié con aussi, et pourtant au fond de moi je me sens coupable ça me hante...
Ecrit par , à 19:41 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Mardi (01/04/03)
Il est de plus en plus rare de nos jours de pouvoir assister à la mise en croix de bourgeoises plantureuses et perverses, exposées nues sur la place publique ou sur une colline des environs. La crucifixion, comme châtiment exemplaire est en voix de disparition partout dans le monde, signe de laxisme de la part des autorités judiciaires et de décadence des moeurs.
Les amateurs de crucifixion féminine, faute de mieux, peuvent toutefois assouvir leur passion en utilisant leur compagne consentante ou non ainsi qu'un matériel peu coûteux facile à fabriquer soi-même.
L'idéal est de posséder une maison avec une grande cave ou un grenier spacieux qui servira de salle de torture ou mieux encore un vaste terrain accidenté, clôturé d'arbres pour se protéger des regards indiscrets. Mais on peut également se contenter de moins d'espace avec une chambre ou une petite pièce si la maison est plus modeste.
Le matériel utilisé consiste en une solide caisse en guise d'échafaud qui sera utilisée comme support de la croix et la maintiendra debout. Les dimensions de la caisse font 30x60x25cm. La croix peut être légère et peu encombrante pour plus de commodité. Elle est faite de deux poutres, le stipes pour la partie verticale et le patibulum pour la partie horizontale, fixées entre elles par un boulon. Une cale de bois clouée sous le patibulum l'empêche de basculer de part et d'autre.
Pour que la croix tienne debout sur son support, l'astuce est de faire une découpe de la largeur et de l'épaisseur du stipes au bord de la caisse, au milieu du côté le plus long mais surtout ne pas la faire au centre de la caisse. Trois planchettes clouées en U dans la caisse sous la découpe serviront de guide au pied de la croix et lui donnera plus de stabilité. Ainsi dressée la croix ne basculera pas avec son support quel que soit le poids de la suppliciée car le centre de gravité reste à l'intérieur de la caisse.
A 32cm de hauteur par rapport à la partie inférieure du stipes soit à 7 cm de hauteur par rapport au dessus de la caisse une fois la croix dressée, on perforera un trou à la chignole. Ce trou servira à enfoncer un long boulon maintenu par un écrou qui permettra de fixer les pieds. On perforera un autre trou à 85 cm environ de hauteur, en mesurant toujours par rapport à la partie inférieure du stipes, un autre trou qui permettra de fixer avec un boulon ( donc démontable ) le sédile qui n'est toutefois pas indispensable.
Le sédile est une petite console de bois, un siège destiné à soutenir le corps des suppliciées les plus douillettes.On
peut lui donner la même forme oblique que le suppedaneum, cette console imaginaire ( car dans la pratique elle n'a jamais existé ) sur laquelle sont cloués l'un sur l'autre les pieds des condamnées.
Pour terminer la préparation de la croix on fera sur le patibulum en plus du trou central servant à l'assemblage des deux poutres, deux trous supplémentaires à 15cm environ des bouts pour attacher les poignets de la suppliciée.
Le scénario de la crucifixion se fera selon les modalitéas suivantes:
La condamnée dépouillée de ses vêtements est attachée à l'aide d'une corde au stipes dressé sur l'échafaud sans son patibulum pour y être flagellée.
Il est facile de se procurer de bons fouets dans les sex-chops mais on peut aussi facilement en fabriquer soi-même avec un bout de manche à balai et deux lanières de cuir sur lesquelles on enfilera pour imiter le flagrum romain trois ou quatre petits boulons maintenus avec du fil de fer enroulé sur les lanières et dont on laissera dressé les bouts acérés.
Après la flagellation on fait jouer à la condamnée la scène du sacre avec une couronne d'épines tressée à l'aide de branches épineuses de rosier ou de ronce par exemple.
Pour la crucifixion on étend de force la condamnée à terre, ses bras sont écartés sur le patibulum. Pour attacher les poignets, l'idéal est d'utiliser deux solides colliers de chien en cuir, coupés sur mesure et mis aux poignets comme des bracelets. Des boulons adaptés passés dans la boucle de métal des colliers ainsi que dans les trous forés dans le patibulum permettent de les fixer.
Pour attacher les pieds on procède de la manière suivante: on ligote le gros orteil et l'index de chacun d'entre eux avec de la ficelle de cuisine. Dans l'espace fermé ainsi créé entre les deux orteils il suffira d'y introduire un long et solide boulon en guise de "clou"; Pour terminer et pour rendre la douleur plus vive on peut poser sur les poignets et sur les pieds des pinces de serrage en plastique couramment vendues dans les supermarchés.
Maintenant la condamnée doit être élevée sur la croix. L'idéal est d'être deux pour soulever le patibulum et l'accrocher au stipes. Mais une seule personne peut y arriver car le plus souvent la condamnée apporte généreusement son aide au bourreau pour limiter les tiraillements douloureux dans les bras. On fixe les deux poutres avec un boulon et son écrou et voilà la croix montée!
Avant de "clouer" les pieds il est préférable d'asseoir la condamnée sur le sédile installé avant la mise en croix car cette fois, rares sont les condamnées qui acceptent de se laisser suspendre docilement par les bras. Le corps ainsi installé sur son trône royal, il est plus facile de soulever les jambes et de fixer les pieds l'un sur l'autre avec le boulon passé entre les orteils ficelés.
Comme il a été dit plus haut, on peut laisser le sédile en place pour les suppliciées les plus douillettes. Il est positionné suffisamment bas pour que le corps tire au maximum sur les bras en provoquant une gêne respiratoire. Toutefois en procédant ainsi le corps demeure très statique, il bouge très peu car les mouvements sont rendus difficiles à cause de la douleur qu'ils occasionnent et le spectateur injustement frustré reste sur sa faim.
La règle est donc de démonter le sédile quand la crucifixion est terminée. On profite avec malice d'un bref soulèvement de croupe à la torture en quête d'une position moins douloureuse pour tirer le "trône royal" d'un mouvement rapide et le tour est joué!
A ce moment la suppliciée s'effondre, suspendue par les bras. Mais la douleur dans les poignets et l'asphyxie intolérable font rapidement leur effet. C'est alors que commence le spectacle le plus libidineux qu'on puisse imaginer, un spectacle à faire bander un eunuque, assis en maillot de bain sur une banquise! La suppliciée tente de se dresser sur les pieds "cloués" pour soulager ses bras distendus et aspirer avidement l'air à grosses goulées. L'effort est intense car le corps qui pèse de tout son poids décuple la douleur dans les pieds. La chair obscène lacérée par la flagellation et mise à l'étal se crispe, se tord comme un vers, se contorsionne, le corps qui se dresse lentement sur les cuisses tendues et les pieds en "danseuse", vibre sur ses clous. La suppliciée pousse des feulements de chatte en chaleur, des râles de "jouissance". Mais les jambes se fatiguent vite. A la douleur des pieds s'ajoutent des crampes qui tenaillent les mollets et les cuisses. Les jambes se mettent à trembler convulsivement en secouant le corps ce qui déclenche un désopilant ballet de mamelles ballotées en tous sens. Les yeux de la condamnée remplis de terreur s'arrondissent comme des billes tandis que la bouche crispée n'arrive pas à contenir des grognements sourds de douleur, de rage et de honte.
Puis le buste bascule en avant tandis que la croupe se dresse contre la potence à la recherche d'un point d'appui illusoire. Mais le corps glisse inexorablement, tire de tout son poids sur les bras distendus et les poignets "cloués". Les cuisses s'ouvrent et s'offrent aux regards aguichés. La suppliciée se sent comme écartelée. L'asphyxie devient intolérable. Il faut remonter coûte que coûte! Et le fabuleux spectacle recommence ainsi indéfiniment sans que l'on s'en lasse. Vous avez tout le loisir de le faire durer selon votre bon plaisir jusqu'à ce que l'orgasme vous fasse monter au septième ciel ou jusqu'à l'épuisement complet de la condamnée.
Ainsi à peu de frais et avec des instruments de supplice faciles à fabriquer vous allez pouvoir messieurs vous distraire, vous amuser, occuper sainement, agréablement et d'une manière peu banale vos soirées, vos week-ends ou vos vacances. Selon vos motivations et votre imagination vous pourrez le faire en couple avec votre épouse, votre maîtresse, votre petite amie ou votre voisine. Et ce qui serait mieux encore, pourquoi ne pas associer à vos jeux érotiques une tierce personne mâle de préférence! Si vous disposez d'un espace suffisant et si vous avez un peu d'ambition il vous est même possible avec la complicité d'un plus grand nombre de personnes de mettre en scène une reconstitution historique de la passion de Jésus Christ, de jouer à Ponce Pilate, de monter ce scénario célèbre, étonnant florilège de tous les plaisirs et fantasmes sado-masochistes: ligotage, coups et violences, outrages, viols en série commis par la soldatesque, prisonnière soumise à la torture pour lui arracher des aveux, condamnée dépouillée de ses vêtements et mise nue entièrement devant la populace en délire avant d'être attachée à une potence et flagellée, couronnement d'épines, portement de croix par la condamnée nue, à travers les dédales et les ruelles populeuses de la ville, condamnée étendue et "clouée" vive sur la croix toujours complètement "à poil" par les sbires de la garde devant la foule émoustillée ou en extase, érection de la croix etc.
Les plus malins joindront l'utile à l'agréable par l'usage d'une caméra vidéo, de quoi faire ensuite un commerce juteux de cassettes auprès de consommateurs avides de sensations fortes et de spectacles de qualité mais demeurés trop longtemps frustrés par la totale platitude des films érotiques diffusés le soir à la télévision.
Ecrit par , à 20:36 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Samedi (29/03/03)
trucs de fille
je viens de comprendre pourquoi je déprime chaque mois à la même période. Les bons vieux trucs de fille. D'une, ça m'énerve de donner raison aux mecs qui disent ça. De deux, encore plus insupportable de penser que mon humeur est conditionnée par ça. De trois, ça me fout vraiment au 36ème dessous alors que y a pas de raison.
Ecrit par , à 23:00 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Mardi (18/03/03)
petite torture
salut a tous.Voila ma torture est pas si orible que sa mais je me casse le Q depui des jours pour trouver une reponse a ma question.En fait c'est tout simple:
quesque je peut ofrir a un mec qui va avoir 15 ans et que je connai pas trop trop?
Ecrit par joanna, à 10:39 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Vendredi (31/01/03)
Ce soir je pourrais en finir
Et le plus triste est que je n'aurais personne pour me retenir
Ecrit par , à 20:20 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Mardi (24/12/02)
J'aimerais
Je chuchote doucement que j'aimerais fermer les yeux et ne pas me réveiller.
Ecrit par , à 20:29 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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Vendredi (06/12/02)
Téléthon
Voilà les deux jours durant lesquels je deteste regarder la télé... passer des tonnes de reportages sur des gens handicapés qui font pitié et bien je trouve cela pitoyable , car bien sur ils cherchent les cas les plus choquant.. bon cela ca passe encore mais je trouve que s'interesser à ces personnes en difficultés juste 2 jours par an c'est assez hypocrite , non?
Ecrit par , à 23:38 dans la rubrique "Ces Tortures...".
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